Cette page présente quelques témoignages de ce que le Seigneur Jésus a fait dans la vie de certains de nos frè res et soeurs.
Si vous l'acceptez dans votre vie, il peut en faire plus pour vous.
Cette liste n'est pas exhaustive. Jésus a fait encore, au milieu de nous beaucoup d'autres miracles, qui ne sont pas écrits sur cette page.
Mais ces choses ont été écrites afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le fils de DIEU, et qu'en croyant vous ayez la vie en son nom.
Je reviens de loin, de trè s loin. Je ne suis même pas sensée être en vie. J'ai eu beaucoup de problè mes familiaux : on pourrait dire que c'est à cause de cela. Mais moi, je crois que l'ennemi avait un contrat sur ma vie. Je suis née cyanosée : il a fallu me réanimer. Déjà, l'ennemi en voulait à ma vie. Plus tard, je suis rentrée dans une trè s grande dépression. A 15 ans, lorsque je sortais, je paraissais bien mais une fois chez moi j'étais abattue, je me sentais tellement seule. Ce mal n'en finissait pas. A tel point que je me suis dit qu'il valait mieux en finir car je ne supportais plus cette vie. J'ai alors commencé à faire des tentatives de suicide. Je me suis coupée les veines mais je ne suis pas allée au bout de l'acte. J'en remercie le Seigneur. J'ai aussi pensé à me jeter du 13è me étage mais gloire à Dieu, je ne l'ai pas fait. Au bout de la 7è me tentative, je crois, je me suis dit que j'allais prendre de l'alcool avec des médicaments pour en finir une bonne fois pour toute. Je le fis. Aprè s avoir avalé ces comprimés, je me sentis enfin bien : tout allait se terminer... Puis, je perdis connaissance. A l'époque, j'avais un chien. Comme vous le savez, les animaux ont la faculté ce genre de chose. Il était là, à mes pieds. Lorsque mon pè re est rentré à la maison, il pensait que je dormais, mais lorsqu'il a vu que mon chien ne l'accueillait pas comme d'habitude, il s'est dit qu'il se passait quelque chose. Il est entré dans ma chambre, m'a secouée et a vu que je ne répondais pas. Il a appelé une ambulance. A l'hôpital, on m'a fait un lavage d'estomac et on m'a conseillé d'aller voir un psychologue. Je ne le voulais pas : alors, mes séances n'ont servi à rien. Les choses ne s'arrangeaient pas mais les paroles que ma mè re m'avait dit à l'hôpital m'empêcher de recommencer. Elle m'avait dit : " Tu as voulu nous quitter ? Alors comme ça, tu as voulu nous quitter ? " Ces paroles m'ont réellement marquée. J'avais pris la décision de ne plus la faire souffrir mais j'étais toujours malheureuse. Je me disais que j'allais vivre comme ça et que peut un jour un accident ou une maladie grave m'enlè verait la vie. Mais voyez vous, Dieu entend les cris de nos cœurs. Il voit quand vous êtes malheureux. Puis, j'ai rencontré celui qui est devenu mon mari. Sa mè re était une enfant de Dieu. Comme il voyait que je n'étais pas bien, il a su que Dieu était capable de m'aider et ceci malgré le fait qu'il ne le connaissait pas lui-même. Il m'a dit : " si ça ne va pas, pars avec ma mè re à l'église de Villemomble. Il se passe des choses là bas. Vas-y ! Peut-être que ça ira mieux. " J'ai discuté avec sa mè re qui m'a proposée de l'accompagner le dimanche suivant. Je ne sais pas comment l'expliquer mais toute la semaine, j'ai su qu'il allait se passait quelque chose de spécial. J'étais vraiment enthousiasmée à l'idée de me rendre à l'église. Arrivée à l'église, ce qui m'a touchée en premier lieu fut la louange. La présence du Seigneur a suffi. C'était devenu clair pour moi : ce que je cherchais, je l'avais trouvé. Ensuite, il y eut le message : il parait, car je ne m'en souvient pas, que je fus la premiè re à m'avancer. J'ai été instantanément délivrée de la dépression. Avant de rentrer dans la maison du Seigneur, j'étais une épave mais je suis ressortir en étant quelqu'un d'autre. Je m'habillais toujours en noir mais petit à petit j'ai commencé à mettre des couleurs. Lorsque je suis revenue chez moi, j'étais tellement différente que mes parents m'ont demandé ce qui se passait. Je leur ai dit que j'avais accepté Jésus. Je n'avais pas réellement compris ce que cela signifiait mais j'étais bien. Plus tard, mes parents sont allés aux Antilles. C'était la premiè re fois qu'ils me laissaient seule : ils m'appelaient pour prendre de mes nouvelles et je leur disait que j'allais bien car Jésus était avec moi. Ils pensaient que j'avais un réel problè me et ils craignaient que je ne fasse une bêtise. Lorsqu'ils sont rentrés, j'ai pris le temps de leur expliquer ce qu'il en était. Cela fait dix ans que le seigneur m'a délivrée de la déprime. Cela ne veut pas dire qu'il n'y a plus de difficultés mais chaque fois que je doute, je repense à ma délivrance. Je sais que dieu a un plan pour ma vie : j'entre dans ce plan et je vais accomplir les exploits qu'il a promis. Ne laissez pas passer Jésus. Je vous en supplie ne continuez pas votre vie sans Lui. G.G.
Je voudrais avant tout remercier le Seigneur de m'avoir sorti de la dépression. J'ai grandi dans une famille où je ne m'entendais ni avec mon pè re, ni avec mon frè re. Je n'aimais que ma mè re. De l'enfance jusqu'à ma majorité, j'ai été abusé par un médecin : j'étais entiè rement brisé. Je me suis tourné vers l'homosexualité. J'avais des relations sexuelles autant avec des filles qu'avec des hommes. Aprè s chaque acte, je me déprimais davantage, car je me sentais fautif et honteux. J'éprouvais de la haine contre moi-même. Ainsi, je suis entré dans la dépression. Malgré tout, je ne voulais pas que l'on connaisse ma souffrance. Je n'acceptais la compagnie de personne sauf celle de ma mè re mais je ne voulais pas lui en parler. Je me sentais rejeté, je ne savais plus que faire ? J'avais perdu ma personnalité : je me demandais si j'étais réellement un homme ou au contraire si je n'étais pas plutôt une femme. Je savais que ce que je faisais n'était pas bien mais je ne pouvais m'empêcher de le faire. Aprè s je pleurais, je souffrais profondément. Cela m'a détruit et a affecté aussi bien mes études que mes relations amicales. Lorsque j'ai rencontré le Seigneur, le Saint esprit m'a convaincu de pardonner ce qui était impensable pour moi. J'ai mis du temps mais j'ai pu pardonner à chaque membre de ma famille mais aussi au médecin qui avait abusé de moi. Ainsi, j'ai été totalement délivré. La Bible déclare : " La joie du seigneur est ma Force ". Lorsque j'étais avec mon entourage, j'étais un véritable comédien car j'étais totalement joyeux tandis que lorsque je rentrais chez moi, j'étais profondément malheureux. Mais le Seigneur, Lui qui sait tout, a vu cela et a permis que ce verset ait un sens dans ma vie aprè s ma délivrance. Maintenant je ne cesse de me réjouir. Je suis même arrivé au point de rire de mon passé. F.C.
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